Rendez vous mensuel CAMP 29 janvier 2017
Rendez vous mensuel CAMP 29 janvier 2017
Succès d’estime pour ce premier rendez vous de l’année à Courtenay. Certes il y avait du monde, mais nombreux étaient ceux qui sont venus en voitures modernes.
Nul doute que si il avait été su que le café traditionnellement offert à tous, serait en ce mois de janvier, remplacé par du vin chaud, du boudin et du pâté, l’affluence en aurait été accrue!

Preuve que le menu du jour a fait l’unanimité, le pâté, une bonne partie du boudin et du pain ont été rapidement consommés! Merci à Laurent et à Francis pour cette initiative!
Il ne faisait pas chaud ce matin!
Parmi les premiers arrivés, Laurent, le président du CAMP, dans sa Peugeot 203, Marcel et sa Simca 1200 S que vous avez pu retrouver page 28 du LVA n° 1752 et votre serviteur en OSI 20 MTS.
Pour compléter le tableau, Thierry, sans chiens ni caravane, en Prairie, et la Dauphinoise de 1956, en état d’origine à l’exception du toit qui a été repeint, et toujours en immatriculation « d’avant » ! La voiture est toujours restée dans le secteur.
Parmi les habitués, Jean Luc et sa Matra Muréna de 1981. Celle là même avec laquelle JL a participé pour la dix septième fois à la traversée de Paris.
Mais la curiosité de la journée, était cette très belle DS 21 de 1970. Achetée à Paris à l’état d’épave, cette auto a été remarquablement restaurée par son propriétaire. Vous allez comprendre avec les photos suivantes pourquoi cette voiture devait appartenir à quelqu’un d’important!
Enjoliveur de roue Robergel, peu courant sur des DS.
Peinture refaite. Rien n’a été laissé au hasard.
La sellerie a été entièrement refaite par un sellier du coin, dans un très beau cuir.
Touches de bois pour un effet luxe!
Mais ce qui rend cette voiture spéciale, c’est qu’elle est équipée d’une séparation chauffeur! La vitre est électrique, les passagers bénéficient d’un accès aux commandes de l’auto radio, d’un allume cigarettes, de cendriers, de bouches de chauffage et bien entendu du téléphone. Souvenez vous que nous sommes dans les années 70!
Prochain rendez vous du Courtenay Auto Moto Passion le dimanche 26 février 2017
RDV mensuel janvier 2017 Retrochap
RDV mensuel janvier 2017 Retrochap
Retrochap, c’est une association loi 1901 de la Chapelle Saint Mesmin (Agglomération d’Orléans) pour partager la passion des véhicules anciens.
Tous les quatrièmes dimanches, c’est sur le parking de l’espace Béraire que tous se retrouvent.
Sur le site internet de l’association, il était annoncé que la 4CV en cours de restauration serait sur plateau pour montrer l’avancement des travaux de carrosserie. C’est le cas. Peinte en gris Pompadour, la caisse est maintenant prête pour un remontage.
Peu de motos en ce dimanche frileux, mais malgré tout des modèles intéressants:
Une moto rare: une Helyett. La manufacture de cycles Helyett fut fondée en 1919 sous l’action des deux frères Picard, à Sully-sur-Loire dans le Loiret, une autre succursale fut ouverte près d’Orléans. Cette entreprise emploiera jusqu’à 50 personnes. La société créera sa propre marque de vélo qui apparaîtra en compétition à partir de 1934 souvent associée à Hutchinson (usine à Chalette sur Loing). Dès 1926 les premières moto Helyett apparaitront.
La deuxième moto présente est un side Ural, transfuge des BMW en union soviétique.
Plusieurs américaines sont venues au rendez vous.
Buick spéciale
A la base la Chevrolet El Camino, crée en 1959, est une berline dont l’arrière a été transformé en pickup. Comme souvent, sous un même nom commercial, plusieurs générations se sont succédé. Je pense que celle exposée doit être légèrement postérieure à 1969, c’est à dire de la troisième génération.
Mais ce rassemblement ne compte pas que des anciennes, à en juger par cette série de Porsches.
En fait on trouve tous les type de voitures, des sportives, des new timers et des classiques.
En fait de Lotus, j’en ai compté jusqu’à 4. Toutes de modèle Elise.

Eddy à la manœuvre. la voiture grise à l’origine, a été repeinte. Ces rendez vous sont aussi l’occasion de discuter et de donner de bonnes adresses comme celle d’un spécialiste Lotus à La Motte Beuvron.
Cette Mini fait partie des voitures ayant participé à la Route Blanche 2017: C’est celle de Guy Pouligny et François Cadeau. Ils finiront quatrième de la série 2 (1959 à 1969), série remporté par le couple COLIN membre du CAMP (en photo dans LVA 1751).
Par contre je n’ai pas trouvé le résultat de l’équipage J. Michel Billault et Didier Lavielle dans le classement 2017 à bord de cette Alpine A310 n° 49 de 1981.
La curiosité du jour avec cette JBA Falcon. Du typique Brexit! Les trois ingénieurs qui sont à l’origine de cette voiture, Kenneth Glyn Jones, John Barlow and David George Ashley (JBA en abrégé) sont des anciens de British Leyland. Au départ, en 1982, la société produira des kit cars.

JBA Falcon fabrication Britannique. Mélange d’aluminium et de fibre de verre. Ne pas confondre avec l’éditeur de logiciel JBA!
Pour autant que je sache les moteurs sont des Ford: Capri, Cortina… Que ceux qui souhaitent en savoir plus, et qui lisent l’anglais aillent sur le site internet dédié à la marque.
Quelques utilitaires comme ce « nez de cochon » Peugeot, aux couleurs d’une épicerie de la Drome.
L’occasion de faire de la pub pour le rassemblement de véhicules publicitaires anciens qui aura lieu à Riom les 26 et 27 août prochain.
Bourse miniatures Miniauto45 2017 Orléans
Bourse miniatures Miniauto45 2017 Orléans
L’Association Mini Auto 45 Grand Tourisme Orléanais , organisait en ce dimanche 22 janvier, sa trente huitième bourse d’échange consacrée aux miniatures et autres jouets et présente l’évènement comme la plus grande bourse de jouets et miniatures de France : 350 exposants venus de toute l’Europe, et plus de 1000 mètres linéaires de tables. Cela doit être vrai si l’on en juge par la difficulté pour de nouveaux exposants à obtenir une place.
Pour faire simple c’est un rassemblement d’hommes murs n’ayant pas complètement coupé le cordon de l’enfance. Je dis homme parce que les femmes présentes se faisaient rares et discrètes. Forcément les petites voitures et les trains électrique, c’est un truc de mec! Aucune chance que les deux ou trois stands de poupées rétablissent la parité.
Alors me direz vous, que vient faire cet article dans un site consacré à la voiture ancienne?
Tout d’abord, la taille ne fait rien à l’affaire, comme chacun sait, et les amateurs de voitures anciennes aiment bien mettre en évidence à la maison (et parfois même dans l’auto), une reproduction de leur « maitresse » préférée, donc peu importe l’échèle pourvu qu’on ait l’ivresse (à l’eau ferrugineuse bien sur).
Ensuite, l’organisateur laisse un espace d’exposition d’automobiles à l’échèle 1 entre les deux salles.

Au premier plan à gauche, une Lotus Esprit Turbo de 1992 (300 cv!) et juste derrière une Lotus Elite de la fin des années 70, les yeux tout grand ouverts.
Avec la magie de la machine à remonter le temps, une Zèbre type A de 1910 à coté d’une Darmont Spécial de 1928.
Né en 1951, le minibus VW Samba à 21 fenêtres est destiné au transport de personnes. C’est le mythe des types 1! Sur celui exposé les jantes ne sont pas celles d’origine.
On s’éloigne un peu de l’Allemagne en passant la frontière Alsacienne avec ce Matford cabriolet de 1937
Clôturons avec cette Panhard Dyna junior de 1952. Sur demande de l’importateur aux USA, ce véhicule ciblait le marché américain à travers ses étudiants. La carrosserie sera confiée à « Di Rosa » de la Garenne Colombes ». Finalement le projet US sera abandonné et la carrosserie re dessinée pour le marché Français. Il en sera produit 4200 exemplaires.
Et puis Gérald Veignal est venu y écouler quelques exemplaires du livre qu’il a écrit sur les conditions d’acquisition des véhicules qui composent son musée. A 80 ans, il est toujours vaillant et passionné, prompt à narrer des anecdotes. Son musée Solognot sera la cible d’une prochaine sortie club du CAMP (Courtenay Auto Moto passion). Avis aux amateurs.

Tiens une Hotchkiss!! AM de 1924. Conduite par le fils de Gérard, vous avez déjà vu cette voiture lors de la parade de la Saint Fiacre à Orléans en juin 2016 (relire l’article sur la journée du samedi).
Mais repassons à l’objet même de cette bourse, les miniatures et jouets.
Beaucoup de stand de voitures: des petites, des grosses, des rares et des vendues partout, des neuves made in China et des authentiques.
Même si d’un stand à l’autre les prix varient parfois du simple au double, le prix affiché et la brillance sont deux indices de l’âge du produit. LVA vendait d’ailleurs sur son stand, l’Argus des Dinky.
Mais aussi des camions, comme ceux proposés par Maqmadon.
Les miniatures de cirques sont sans doute un marché de niche.
Dans les jouets qui réveillent la nostalgie, il y a les Meccano.

Comme les Legos, il y a des boites destinées à reproduire un modèle, et les boites de pièces propres à développer la créativité.
Si les voitures et autres véhicules routiers sont majoritaires, quelques stands proposaient du ferroviaire, de la figurine, mais presque aucun des bateaux. Celui ci fait partie des exceptions.
Quoi de plus sympa pour conclure que le sourire triste mais malicieux d’un clown!
Bourse miniatures Miniauto45 2017 Orléans
Bourse de Lorris janvier 2017
Bourse de Lorris janvier 2017
Comme tous les ans, c’est par un dimanche gris et humide, que quelques boursiers se sont retrouvés à Lorris (Loiret) pour la bourse annuelle.
Ce qui frappe, c’est que toutes les tables mises à la disposition des boursiers ne sont pas occupées.
Ce qui ressort ensuite, c’est la part importante des vendeurs de miniatures.
Attention cependant aux prix pratiqués: D’un exposant à l’autre, les prix peuvent varier de 20 à 50%: 10€, 12 ou 15€ pour la même boite.
Malgré tout quelques pièces pour nos chères anciennes, en caoutchouc, d’éclairage ou de carrosserie.
Une devinette? Regardez bien ce poste radio Citroën. Mes parents avaient le même dans les 2CV et les Ami 6 qui leur succédèrent. Devinez le prix!
Egalement peu de boursiers en extérieur, et majoritairement des vendeurs de pièces de deux roues.
Et si ce vélo vous plaisait il pouvait être à vous pour 80€. Attention c’est un Acylon, marque Française du début du siècle dernier, disparue, et 13 fois vainqueur du Tour de France!
Mais à y regarder de plus près, c’est la sonnette qui mérite que l’on s’attarde: une fabrication à « La Bussière » dans le Loiret, non loin de Montargis. Le lieu est connu pour son château et ses habitants au nom de Delahaye, mais pas pour son ancienne fabrique de sonnettes Lejarre!!! Si un lecteur peut apporter des précisions sur ce fabriquant….
Mais parlons un peu des visiteurs. Grosse déception, il n’y avait pas de parking réservé aux amateurs venus en voitures anciennes, donc les quelques courageux étaient disséminés un peu partout.
Un tir groupé qui mélange une 4cv » coursifiée », Peugeot 404 et Alpine.
Vous voyez que les cascadeurs n’ont pas cassé toutes les SIMCA Ariane!
Mais que fait ici ce viking?
Les lecteurs réguliers reconnaissent le sigle apposé sur la Rover 100 de Didier vue fin décembre au rendez vous mensuel de Courtenay, sauf que cette fois il s’agit d’une 90.
Motorisée par un 6 en lignes de 2,6 litres, bloc en fonte et culasse en aluminium. Lors d’un essai par un magazine automobile Britannique, la vitesse de pointe mesurée fut de 144 Km/h et le 0 à 100, en à peine moins de 20 secondes.
Bourse de Lorris janvier 2017
les Bollée au Musée des 24 heures de la Sarthe bis
Les Bollée au Musée des 24 heures de la Sarthe bis
Version amendée à la suite des compléments et commentaires de Yves Bollée, un des arrières petits fils d’Amédée fils, arrière petit neveu de Léon Bollée lequel n’a pas de descendance direct. Je profite pour remercier grandement Yves Bollée pour son concours.
Tout d’abord, le Musée automobile de la Sarthe, sous sa forme actuelle, date de 1991, sur suggestion (ou pression) de l’ACO (Automobile Club de L’Ouest). Il sera inauguré le 20 juin 1991. 150 véhicules sont exposés Sur 4000 m2 environ.
En premier lieu, j’avais envie de commencer par des pionniers de l’automobile, si ce ne sont les pionniers, j’ai nommé la dynastie Bollée. Ce choix me semble d’autant plus logique que le patriarche, Ernest Sylvain Bollée s’est installé dans un des faubourgs du Mans en 1842. Il venait comme son frère de Clefmont en Haute Marne
Il c’est installé dans les faubourg du Mans en 1842. (C’est son frère Jean Batiste Amédée qui s’est installé à saint Jean de Braye en 1838 ou 1839).
Les Bollée étaient à la base des fondeurs de cloches. Parmi les fils, C’est Amédée (1844-1917) qui reprends l’entreprise familiale au décès accidentel du père. Ernest Sylvain est mort de façon accidentel en 1891 à 76 ans mais Amédée commençe à travailler dans la fonderie à quinze ans comme c’était la tradition chez les maîtres saintier. Il n’a aucun diplôme.
C’est, dit on, la visite de l’exposition universelle de Paris en 1867 et son expérience dans une fabrique de machine à vapeur qui seront les sources de son envie de construire une voiture, tâche à laquelle il s’attèle en 1873. Son nom: l’Obéissante. Mais nous parlons ici d’Amédée Bollée père. Parce que cet ingénieux bonhomme, n’a rien trouvé de mieux que de donner son prénom à l’un de ses fils! Donc il y a deux Amédée!

Précision de Yves: « Amédée Bollée fils » nom que mon arrière grand père utilisait pour se différencier de son père « Amédée Bollée père »
Amédée junior (1867-1926) et son frère Léon (1870-1913) vont poursuivre leur travail sur les automobiles et passer de la vapeur au moteur à explosion.
En fait, Léon est un inventeur précoce, puisqu’à 14 ans il fait un pédalo, et à 19 ans, il invente une calculatrice mécanique de 3000 pièces qui lui permettra d’obtenir un premier prix à l’exposition universelle de 1899!!
C’était juste pour fiabiliser les calculs de fabrication de cloches…
En premier lieu, ce Type D Runabout de 1899. 40 exemplaires construits. 40 KM / heure et 35 litres au 100 Km/h !!! Moi qui pensait que j’avais un record avec les 17 litres de l’Hotchkiss! Il faut savoir rester modeste!
Ensuite, voilà un Tricycle Léon Bollée à deux places de 1896. (Yves Bollée précise que le terme voiturette, nom commercial, a été inventé par Léon Bollée)Le moteur est un monocylindre 4 temps de 650 cc, allumage à tube incandescent chauffé par un brûleur. Et l’engin fonctionne puisque un matériel en tous points similaires participait au parcours des 110 ans du grand prix de l’ACF en juillet dernier. Pour voir les photos, suivez ce lien. Rare en 1896, vous noterez les pneumatiques. (ajout de Yves Bollée: Les voiturette Léon Bollée ont été avec les voitures Decauville les premières à être équipé d’origine de pneumatique).

Son petit nom ? « Le tue belle-mère » (à cause de la position à l’avant du passager); Beau succès commercial puisqu’il s’en est vendu 1200!!
Pour mémoire, lors du Londres Brighton de 1896, ce sont deux voiturettes (tricycles) Léon Bollée (que les Brexit ont nommées Trike) qui sont arrivées première (Léon en personne) et deuxième (Camille).
Nous sommes maintenant en présence d’une Amédée Bollée Fils, limousine type D de 1901. La carrosserie est signée de la maison Gaudichet et Turquet.
Je dois souligner qu’il m’a fallu faire le tour de la voiture pour trouver l’accès au compartiment passagers: le siège avant gauche bascule et permet de passer par la porte coulissante.
Amédée Bollée Fils type F Torpedo de 1912. La voiture est réputée fiable et confortable. Parfois, les passagers sont protégés par une deuxième vitre. La carrosserie est alors nommée « scaphandrier »

Motorisation par le 4 cylindres à deux blocs. Allumage par magnéto. Graissage par barbotage. Collection privée.
Nous avons ici une Léon Bollée G1 torpédo de 1912. La carrosserie a été encore été réalisée par le carrossier local Gaudichet et Turquet. Le radiateur est typique des Léon Bollée. Il en sera construit 450.
Le moteur qui suit est aussi coulé en deux blocs de deux. Il cube 6333 cc pour (seulement) 30 CV. Vous observerez la qualité de la fonderie, héritage de la maitrise des fondeurs de cloches.
On avance un peu plus dans le temps avec cette Amédée Bollée type F. C’est la recherche du confort qui a poussé à transformer des Torpédo en Berline. Pour des raisons de poids, la structure est en bois et ici recouverte de peau de porc (si si vous avez bien lu). Comme on dit en Sarthe, tout est bon dans le cochon!
De nouveau on retrouve un type F mais carrossé en runabout sport. Son inspiration a été trouvée dans la carrosserie réalisée pour le premier grand prix ACF de 1906. Pour celles et ceux qui ont découvert mon site récemment, j’ai publié un article début juillet 2016, à l’occasion des 110 ans de ce grand prix 1906. Vitesse maximum 75 Km/heure.
Conclusion:
En conclusion, que dire de plus si ce n’est que Gérard Bollée,Un des petits fils d’Amédée fils, le fils d’Amédée junior (vous suivez toujours?) habite toujours Le Mans. Il travaillera dans l’usine de fabrication de segments que son grand père (junior) avait crée, jusqu’à sa retraite.
D’autres reportages sur ce joli musé suivront.
les Bollée au Musée des 24 heures de la Sarthe bis
Rétrospective 3Avs 2016
Rétrospective 3Avs 2016
Le temps passe vite et cela fait maintenant un an que le site Automobile Anciennes à Votre Service a été créé. 90 articles – reportages ont été publiés.
A moins de suivre les publications régulièrement, il est sans doute difficile de se souvenir de tous les évènements traités.
Mais j’ai pensé vous faire passer, le temps d’un instant, de l’autre côté de l’écran, en partageant quelques données sur le site. Pour commencer, j’ai choisi avec Yves Trinidad, mon Web Master, un référencement naturel. C’est à dire que je ne paye pas pour apparaître en tête de page quand on interroge un moteur de recherche. C’est le nombre d’articles, les mots clés et vous en vous connectant, qui me font remonter dans la file. C’est en quelque sorte un référencement au mérite. Vous avez compris que ce site ne me rapporte rien si ce n’est de partager de bons moments.
Une session se définit comme une connection. On en a mesuré plus de 14 000.
Les utilisateurs, c’est vous. Par contre, si vous allez sur le site 2 fois, Google compte 2, et sur un an, vous avez été presque 9 400 à visiter 3Avs. Avec une maille plus fine, on note un flux quotidien régulier de 30 à 40 personnes avec deux pointes à 80. Je n’ai pas les outils pour analyser avec plus de détails.
Ce qui m’a le plus frappé, au début, c’est l’origine géographique des lecteurs. Bien sur les Français sont majoritaires, mais on trouve des Anglais, des Américains, des Russes… Dans certains cas ce sont des moteurs de recherche automatiques. Je serai flatté que les Russes m’espionnent, mais je ne pense pas être au même niveau que des élections récentes….
Bref, de quoi avons nous parlé en 2016?
- Bien sur des clubs auxquels j’appartiens et de leurs activités (AG, Rallyes…): Courtenay Auto Moto Passion (CAMP), Le Club Hotchkiss France & le Club OSI France.
- Des évènements régionaux comme les rendez vous mensuels, les bourses et autres expositions, et les Rallyes – Balades.
- Des évènements plus Nationaux comme Rétromobile, Le Mans Classic, Reims, Le Rallye des clubs de Marques…
- Des musées visités au gré de mes déplacements, des connus et des moins connus.
- De certaines ventes aux enchères.
J’essaye de mettre en évidence les voitures originales ou peu connues sous nos latitudes, et parfois même les « sans palmarès », mais que les propriétaires cajolent avec passion. J’essaye aussi de mettre un peu d’humour…. à la mesure de ma petite impertinence. Je tente de ne pas dire trop de sottises et de cadrer les photos du mieux possible pour traquer le détail qui fait la différence. Je m’emploie à couvrir les voitures de collection de tous les âges. Je m’efforce de documenter et de commenter les photos pour éviter l’effet album photos.
Et puis ne pas oublier les jeunes femmes qui vont tenter des aventures en 2017
Et 2017 me direz vous?
Toujours des articles.
Toujours des musées (je vous proposerai bientôt un article spécial pour le centième reportage. Il devrait je l’espère, allumer autant d’étincelles dans vos yeux que la visite à suscité d’émerveillement).
Toujours des couvertures de manifestations. Donnez moi des dates pour la mise à jour du calendrier.
Alors, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires sur le site. Nul besoin d’être méchant ou obséquieux. Pour tout vous dire, ma frustration est de n’avoir que peu de retours. S’ils sont positifs, cela fait plaisir, mais ce sont les critiques positives qui font progresser.
Je vous remercie pour votre fidélité et vous souhaite une excellente année 2017 avec vos belles! Même quand les températures sont négatives, on peu rouler en ancienne. Il y a toujours des choses à voir.
Rétrospective 3Avs 2016